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#Deauville : La Saison Culturelle 17/18 : 20 ans de découvertes et de plaisirs !

La Saison Culturelle 17/18 : 20 ans de découvertes et de plaisirs !

En fêtant le 20e anniversaire de la saison culturelle de Deauville on mesure, par un simple regard rétrospectif, combien cette programmation annuelle de spectacles et de concerts, nous a révélé d’artistes et de spectacles marquants. On a ainsi pu découvrir à Deauville, avant qu’ils soient plébiscités, des artistes accueillis aujourd’hui dans les grands festivals et sur les principales scènes nationales et internationales. La saison culturelle 17/18 de la Ville de Deauville, ouverte à tous, reste fidèle à cet esprit de découverte. Par la volonté des élus de la Ville de Deauville, Philippe Augier qui l’a créé en 1997, puis Isabelle Patry- Santos qui la porte depuis 2001, elle se donne une nouvelle fois pour mission d’accueillir et de partager des propositions artistiques qui sont d’abord des coups de cœur. Du théâtre d’acteur, du théâtre de troupe et de la danse qui invitent les auteurs classiques et ceux d’aujourd’hui. Des chanteurs et chanteuses de la jeune scène musicale, qui font échos à tous ceux qui ont écrit les grandes pages de la chanson depuis 50 ans. Les meilleurs solistes et chanteuses de jazz ainsi que des formes originales et festives de nouveau cirque ou de théâtre d’objets. Nos saisons culturelles sont pensées et conçues comme autant de parcours, variés et de qualité. Une quinzaine de rendez-vous, entre septembre et juin, le samedi soir mais aussi en semaine, qui associent l’émotion, le rire et le plaisir, en mettant à distance la facilité et en flattant la curiosité. Autant de moments de créativité et de convivialité à partager ensemble dans une même salle. Comme ces spectacles et concerts sont proposés à un tarif abordable (19 € le spectacle dès que l’on en choisit 4 dans la saison), vous êtes chaque année de plus en plus fidèles à ces rendez-vous, rejoints par de nombreux nouveaux venus, toujours les bienvenus. Tout est réuni pour vivre et partager avec vous une belle nouvelle saison culturelle 17/18 et l’on s’en réjouit déjà !

Vendredi 29 septembre 2017

 21h : Pourvu qu’il nous arrive quelque chose…

Gregory Faive

Pourvu qu’il nous arrive quelque chose... Grégory Faive, jeune comédien à l’énergie communicative, s’est emparé du Petit lexique amoureux du théâtre, de Philippe Torreton. Grâce à lui, un livre de loge et de chevet est devenu un seul en scène bondissant qui révèle avec humour et avec passion les coulisses du théâtre et la magie de la scène. De A comme Admiration à Zzzz (ronflement du spectateur) en passant par Bide, Marivaudage, Servante ou Trac… Gregory Faive, comédien pétillant, s’approprie les mots de théâtre de Philippe Torreton. Il nous emmène dans les coulisses du théâtre, de son métier, de ses joies et de ses peines. Partant d’un lexique remarquable de modestie et de malicieuse ironie, il invente et porte seul un spectacle joyeux et enthousiaste qui apprend, explique, décode et déclenche sourires et fous-rires. Une déclaration d’amour au théâtre qui dessine en creux le portrait d’un de nos plus grands acteurs dont la vocation s’est révélée dans un cours de théâtre de l’agglomération de Rouen. Le spectacle, en tournée depuis 2011, a notamment été accueilli par la MC2 Grenoble pour une série de représentations, dont une devant Philippe Torreton en personne. Le spectacle a également réjoui les spectateurs du Festival Off d’Avignon… dont Vincent Dedienne.

théâtre Samedi 4 novembre 2017 / 20h30

Théâtre du Casino Barrière de Deauville

CorneillE El Cid

Adepte du théâtre forain, l’Agence des voyages imaginaires, implantée à Marseille, est une troupe de comédiens-musiciens qui transforment les spectacles en moments de fête. Plus personne n’en doute, ils ont du cœur et de l’esprit, lorsqu’ils se jettent, avec une imagination débordante, dans la plus célèbre tragédie de Corneille. Après avoir accueilli les spectateurs en musique dans le hall du théâtre, les cinq comédiens–musiciensmarionnettistes rejoignent la scène où Philippe Car, le metteur en scène, transpose l’action dans un manège onirique. Rodrigue et Chimène doivent encore et toujours se débattre entre amour et devoir. Très rapidement le comique se confronte au tragique dans cette formidable et détonante version du Cid. La troupe s’empare des alexandrins de Corneille et livre une version ludique et pétillante d’intelligence. Pour autant, cette joyeuse bande reste fidèle au texte, se permet des trouvailles, intègre un narrateur et joue nombre de séquences musicales entre les scènes. Remontant aux sources du mythe et de l’épisode historique qui a inspiré Corneille, ce spectacle a pris forme lors d’un périple de plusieurs mois à travers l’Espagne et le Maroc. Il s’est nourri des rencontres et des influences culturelles et musicales des pays visités. Sur scène, a nos pieds dans les allées du théâtre, les comédiens de l’Agence des voyages imaginaires déploient « Une savante et fine façon d’exciter tout à la fois les neurones et les zygomatiques du spectateur. » El Cid, spectacle flamboyant, est une « performance euphorisante ». à l’issue de ce voyage festif chez les passionnés de théâtre, il ne reste plus aux comédiens qu’à raccompagner, en musique, les spectateurs dans le hall. Le spectacle se prolonge et le public euphorique est conquis en arrivant au port !

danse Vendredi 8 décemb re 2017 / 20h30 Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Itra / Sophie Lamarche Damoure Scratch

Trois danseurs et acrobates, dans des tenues équipées de bandes de velcro, se projettent et se fixent sur des plans inclinés qui les retiennent. Ici la danse est parfois acrobatique avec des séquences toniques et magiques. Les corps bondissent, se suspendent sur les parois d’un grand module noir, posé au centre de la scène. C’est alors, pour la chorégraphe Sophie Lamarche Damoure que : « L’Apesanteur les saisit, les soulève, les transporte et la lenteur prend le dessus.» Les corps bondissent, se suspendent ou s’accrochent sur les parois d’un grand module noir, posé au centre de la scène. La chorégraphe s’appuie sur des extraits de poèmes d’Henri Michaux, poète de Plume et de mots qui dansent. L’univers musical et sonore est réalisé par deux musiciens improvisateurs. Scratch est né à Deauville, lors d’une résidence de création chorégraphique accompagnée et financée par la Région Normandie. La présentation en avant-première de sa première étape de création avait enthousiasmé les spectateurs

musique de chambre Jeudi 21 décembre 2017 / 20h Salle des fêtes

Les solistes du festival de Pâques Franz Schubert

Accueillis en résidence de création, cinq solistes du festival de Pâques partagent durant une semaine des rencontres et des répétitions publiques avec les collégiens et lycéens de Deauville et Trouville… Avant de donner un concert Schubert, avec La Belle Meunière, pour flûte et piano et le Trio n°1 pour violon, violoncelle et piano. Miracle de charme, de virtuosité et d’inspiration musicale, les variations pour flûte et piano sont inspirées du 18e lied de La Belle Meunière, « fleurs séchées ». Toutes les possibilités de la flûte y sont magnifiquement exploitées. Rarement joué, ce duo, composé en 1824 pour Ferdinand Bogner ami de Schubert, est toujours une révélation pour le public. Avec le trio n° 1 opus 99 de 1827, il s’agit de l’un des sommets schubertiens parmi les plus purs et les plus connus que Schubert n’entendit jamais de son vivant. Sa découverte fut un choc pour Robert Schumann qui écrivit : « Il n’est que de jeter un coup d’œil sur lui et toute la misère de l’existence s’évanouit comme par enchantement ». Yves Petit de Voize

théâtre Vendredi 19 janvier 2018 / 20h30 Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Grisélidis Coraly Zahonero Grisélidis

Réal (1929-2005), écrivaine, peintre et courtisane à Genève, a fait de la prostitution un art et un humanisme. Elle a raconté sa vie hors normes dans des entretiens et des écrits biographiques. Des mots touchants de vérité que Coraly Zahonero, sociétaire de la Comédie-Française, transforme en un seul en scène incroyablement juste, poignant et bouleversant. Elle portait un prénom d’héroïne de conte de Perrault et conjuguait une beauté exceptionnelle, un destin atypique et une personnalité hors-norme. Grisélidis Réal, personnage combattant, a marqué les esprits dans les années 70, en défendant les droits des prostituées. Coraly Zahonero, l’une des plus fines lames de la Comédie-Française adopte sa silhouette, sa coiffure et son maquillage, prend sa voix, ses postures et devient Grisélidis : « Moi je ne supporte pas l’injustice et l’hypocrisie, il faut mettre sur la table la vérité, il faut la regarder en face et il faut l’accepter, il faut la soutenir, la démystifier. C’est possible au lieu de la haine, du mépris, de l’incompréhension. » Grisélidis Réal, qui revendiquait la prostitution comme un acte révolutionnaire, se confie avec ses mots vrais, tantôt crus, parfois lyriques. «...Elles font leur petit boulot, comme des rats qui rongent dans l’ombre et un jour, il y aura des trous dans les murs. » C’est une femme singulière, une prostituée atypique que la comédienne, sociétaire du Français, nous révèle, encore plus fascinante, plus humaine et plus troublante. Après une longue bataille avec les autorités suisses, Grisélidis Réal, figure du féminisme, est inhumée, depuis 2009, au cimetière des Rois (panthéon suisse), à Genève, entre Borgès qu’elle admirait et Calvin, qu’elle détestait.

théâtre Vendredi 26 janvier 2018 / 20h30 Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Nathalie Joly Café Polisson

Nathalie Joly, dans un spectacle produit par le musée d’Orsay, ressuscite le Caf’Conc’. Un irrésistible répertoire de chansons que l’on entendait au Chat noir. Témoignage des mœurs de l’époque. On chante, on danse et on raconte les plaisirs et les vices, avec un art consommé de l’allusion. Un spectacle truculent, jamais salace, et toujours jouissif ! Ce spectacle de chansons, mises en scène, a été conçu sur mesure pour le musée d’Orsay lors de l’exposition « Splendeurs et misères, images de la prostitution, 1850-1910 ». Nathalie Joly, chanteuse à qui l’on doit plusieurs récitals des chansons d’Yvette Guilbert, est entourée ici de deux musiciens et d’une danseuse. En s’inspirant des tableaux de Renoir, Manet, Degas ou Toulouse Lautrec, on recrée sur la scène l’univers chamarré et les effluves capiteux de ces cafés où se retrouvaient artistes, poètes, demi- mondaines, courtisanes et filles de joie. « Ici l’on rit des passions tout en évoquant l’oppression et les vicissitudes de vies souvent moins roses que les dessous qu’elles dévoilent ». Café polisson réunit des chansons cruelles et drôles qui racontent les vicissitudes de l’existence. Le répertoire associe les chansons du Second Empire et de la Belle époque : des chansons issues d’opérettes, des chansons grivoises ou coquines et des chansons truculentes de chanteuses-diseuses… Avec talent, avec finesse, mais aussi avec beaucoup de plaisir, Nathalie Joly s’empare d’un répertoire oublié pour créer un spectacle remarquable, drôle et ponctué de mots d’esprit.

danse Mardi 6 février 2018 / 20h30

Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Rachid Ouramdane TORDRE CCN2-Centre chorégraphique national de Grenoble

Une danseuse tourbillonne jusqu’au vertige. TORDRE, une pièce de danse fascinante, fait écho aux rondes enfantines autant qu’aux transes des derviches tourneurs. Ce duo de deux magnifiques interprètes est accompagné par la musique de Funny Girl et par la voix de Nina Simone. Deux danseuses se révèlent ensemble ou séparément dans leur belle énergie. Mise en scène patiente et délicate de la confidence, TORDRE est un double portrait chorégraphique créé en 2014 par Rachid Ouramdane, danseur et chorégraphe, nouveau directeur du Centre chorégraphique national de Grenoble, aux côtés de Yoann Bourgeois. TORDRE est une danse hypnotique qui alterne solos et duos. Le spectacle s’ouvre malicieusement sur la musique de Funny Girl, le film musical de William Wyler, puis se déploie en arabesques sur la version live d’une chanson de Nina Simone. Rachid Ouramdane a puisé dans le vécu de ses interprètes qui accompagnent son travail depuis plusieurs années. Lora Juodkaite, venue de Lituanie, tourne sur elle-même jusqu’au vertige, une pratique gestuelle personnelle qui l’accompagne depuis qu’elle est enfant. Annie Hanauer, Britannique, danse avec une prothèse de bras, articulée, qui la prolonge et la constitue tout à la fois.

danse Samedi 10 février 2018 / 20h30 Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Marivaux L’île des esclaves

Marivaux, virtuose des changements de postures et des permutations de rôles, imagine, en 1725, deux binômes, maîtres et esclaves, inversant leurs rôles. Comment l’opprimé d’hier va-t-il, par réflexe de vengeance, s’émanciper sans devenir à son tour l’oppresseur ? Une mise en scène tonique et moderne. Un spectacle réjouissant. Inspiré par la comédie italienne et l’actualité sociale de son époque, Marivaux conçoit sa comédie en un acte comme une fable. Elle met en scène deux maîtres et valets, deux binômes, un masculin et un féminin, échoués sur une île. D’anciens esclaves affranchis de leurs maîtres se sont organisés en République et leurs descendants ont mis en place un système d’épreuves afin de faire réfléchir leurs maîtres sur leur conduite. Comment peut-on faire l’apprentissage de la justice, voire de la démocratie dans des conditions d’affranchissement brutales et soudaines ? à la fin de la pièce, chacun reprend sa place. Les maîtres, rendus meilleurs après leur expérience, promettent à leurs esclaves la fin de leurs maux, tandis que les esclaves parviennent à être plus indulgents vis-à-vis de leurs maîtres.

l’amour en toutes lettres #8 Dimanche 18 février 2018 / 15h30 Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Françoise Sagan

L’Amour, les mots Une plongée inédite dans les pages de Françoise Sagan. Un merveilleux voyage vers les histoires d’amour vécues par ses personnages. Une immersion dans ses mémoires et entretiens lorsque l’auteur de La Chamade, évoque ou partage le ressenti de ses propres passions amoureuses. Pour la première fois, Maissiat rejoint sur scène Anne-Marie Philipe, pour dire les textes qu’elle aime. Au moment où Deauville accueille dans les salles du Point de Vue, l’exposition Françoise Sagan, liberté d’écrire, liberté de vivre, il y a, en cette mi-février, loin des Saint-Valentin(s) convenues, une proposition originale, une lecture musicale en lien avec les mots de l’amour selon Sagan. Une plongée dans ses romans, ses entretiens et ses souvenirs. L’Amour passion des héroïnes de Sagan, l’amour qui emporte et refuse la routine, l’amour des escapades et des nuits qui n’en finissent pas. Maissiat, chanteuse–comédienne et Anne-Marie Philipe, comédienne, qui aiment Sagan, seront accompagnées d’un trio de jazz, reprenant le répertoire des années parisiennes de Miles Davis. On se souvient que le trompettiste en exil partageait lui aussi dans le Saint-Germain-des-Prés des années 50, une passion amoureuse avec Juliette Gréco. On retrouvera la grâce de ses improvisations à la trompette faisant écho au visage tourmenté de Jeanne Moreau, errant dans un Paris nocturne, tandis que Maurice Ronet, bloqué dans un ascenseur, ne la rejoindra jamais... Lors de cette soirée unique, dans le public, plus d’un cœur va battre la chamade.

musique Vendredi 23 février 2018 / 20h30 Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Dick Annegarn

En concert Apparu à la fin des années 70, avec sa silhouette de grand blond de la chanson et son accent néerlandais, Dick Annegarn s’est vite imposé dans notre mémoire collective. Aujourd’hui il reste, encore et toujours, un chanteur malicieux et ironique. Un artiste passionné qui occupe magnifiquement la scène et transforme ses concerts en de chaleureux et joyeux rendez-vous. Bruxelles : une chanson que les récents attentats de Bruxelles ont transformée en hymne. On se souvient aussi de sa réappropriation du Père Ubu (et de la mère Ubu) et de la malicieuse histoire de Mireille la mouche… Aujourd’hui Dick Annegarn est twist. Twist : comme le titre de son nouvel album. Le disque radieux et souriant d’un auteur-compositeur-interprète, toujours inspiré, toujours inventif et toujours aussi attachant. Des chansons malicieuses, légères et graves interprétées par un artiste toujours nomade et citoyen du monde. Dick Annegarn aime la scène et le rapport au public ; espiègle, il chante en variant les registres vocaux, ses pieds sautillent, ses mains plongent dans ses poches, son corps vibre. Souvent, ses bras agiles et mouvants dansent d’improbables corps à corps avec les instruments dont il joue, accompagné de trois musiciens complices… qui s’amusent à ses côtés, comme nous, spectateurs sous le charme, sérieusement et joyeusement.

cirque Samedi 10 mars 2018 / 20h30 Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Compagnie E1NZ Zwäi

Dans l’esprit poétique du nouveau cirque, une trapéziste et un jongleur-équilibriste inventent un duo lunaire et virtuose. Un couple de jeunes artistes joue sur scène un délicat ballet de prouesses et de preuves d’amour. Une épopée sensible et acrobatique qui détourne les objets du quotidien. Un joli numéro de cirque né d’une belle rencontre amoureuse ! Le duo formé par Esther et Jonas Slanzi a imaginé et conçu un spectacle sans paroles associant cirque, théâtre et musique. Une performance physique alternant vitesse et ralenti, numéros de cirque et magie théâtrale. On se chamaille, on se rapproche, on se fuit, on se taquine et l’on s’aime. Artistes de cirque, ils nous surprennent en détournant des objets qui nous sont familiers. Ils enchaînent d’époustouflants numéros de jonglage, d’équilibre, ou de diabolo, menés et projetés à un rythme infernal… Esther et Jonas Slanzi ont tous deux une présence qui rappelle Charlie Chaplin dans Les Lumières de la ville. Loin des coups de cymbales et des projecteurs tonitruants, Zwäi est le spectacle de cirque de deux artistes qui ont la grâce. Un spectacle de cirque à tiroirs, tendre et léger, qui s’adresse à tous, à partir de huit ans.

chanson mardi 13 mars 2018 / 20h30

Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Granby Tour 2018

Les Sœurs Boulay et Samuele Stéphanie et Mélanie Boulay ont raflé depuis 2012 les prix et les trophées de la chanson au Québec, avant d’être les finalistes de l’émission « La Voix ». Leurs deux voix s’harmonisent à ravir, pour des chansons folks, intimistes, élégantes et mélancoliques. En première partie, Samuele chante aussi en français, avec une fougue et une énergie spectaculaires sur des rythmes de blues et de rock. Samuele, chanteuse et guitariste, a remporté le Grand Prix du festival de Granby 2016, décerné par deux cent dix-huit professionnels. Multi-instrumentiste au regard d’azur et aux boucles blondes, elle chante et bondit, cramponnée à sa guitare, sur des compositions folk rock aux intonations de blues. Diseuse et chanteuse, débordante d’énergie, elle alterne chansons joyeuses et mélancoliques, accompagnée d’Alex Pépin, à la contrebasse et aux chœurs. Grâce à leurs disques, grâce à la télévision mais surtout grâce au charme qui se dégage de leurs deux cent cinquante concerts annuels, les sœurs Boulay ont conquis un large public au Québec. Aussi à l’aise en formule intimiste, que devant six mille spectateurs, les deux jeunes trentenaires écrivent, composent et interprètent leurs chansons, inspirées par leurs vécus. Amours et désamours, rêves et désillusions, elles se racontent sur des mélodies vocales, entre folk mélancolique et pop sucrée-amère. Elles s’accompagnent mutuellement à la guitare et aux percussions. Entre deux chansons, elles partagent de brèves interventions, drôles et touchantes avec le public.

MUSIQUE Samedi 24 mars 2018 / 20h30

Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Emmanuel Van Cappel

Elle… émoi

Emmanuel Van Cappel, alias Manoche, joue en virtuose avec les mots et avec les sonorités de ses trompettes. C’est un plaisir de retrouver le comédien, l’auteur et le musicien, dans son nouveau spectacle inspiré par sa passion dévorante, pour Elles. Celles qui accompagnent sa vie, en lui procurant des bonheurs sans fin : ses trompettes. On avait découvert Manoche et son piston lors de la présentation de la saison culturelle 2013/2014, et l’on s’était réjoui de son humour et de ses ponctuations musicales. Redevenu Emmanuel Van Cappel, le musi-comédien, jongleur de mots, qui a passé une grande partie de sa vie dans les fosses d’orchestre, nous offre cette fois un spectacle composé de « Diversions ou digressions musicales et de confessions à double sens ». Avec beaucoup de malice, avec un humanisme touchant, l’artiste nous émeut dans sa vérité et sa sincérité. Ce faisant, il partage avec nous bien plus que sa vie de musicien, Elle… Emoi est un seul en scène. Une formidable interrogation sur l’amour, la passion, la place de l’art dans la vie d’un artiste, la confusion ponctuelle entre l’art et le sens de la vie. Au-delà d’un spectacle, Elle… Emoi est un moment tendre et joyeux en musicale et poétique compagnie

jazz Samedi 7 avril 2018 / 20h30

Théâtre du Casino Barrière de Deauville

Sophie Alour invite... Stéphane Belmondo, André Ceccarelli, Alain JeanMarie, Sylvain Romano

Sophie Alour s’est imposée comme l’une des meilleures saxophonistes de la scène jazz française. L’estime qu’elle suscite chez les autres musiciens lui permet d’inviter auprès d’elle, le temps d’un concert et d’un album, quatre musiciens d’exception pour un concert qui revisite les grands standards du jazz. Stéphane Belmondo, fils et frère de saxophonistes, est l’un des meilleurs trompettistes de sa génération. D’abord auprès de Michel Legrand, Stéphane Grapelli, Chet Baker ou Jacky Terrasson… avant de s’exiler à New York durant cinq ans pour accompagner les grands noms du jazz américain. Depuis son retour en France, il témoigne de sa passion pour Chet Baker ou Ravel… autant de réussites discographiques qui lui ont permis de rafler cinq Victoires de la musique en trois ans. André Ceccarelli a souvent accompagné Dee Dee Bridgewater. Il est depuis cinquante ans le batteur préféré des chanteurs qui « swingent » (Aznavour, Bécaud, Nougaro, Salvador, Jonasz…) et celui que les plus grands noms du Jazz et de la Soul (Tina Turner, Aretha Franklin,…) ont adopté. Alain Jean-Marie, pianiste bebop, inventeur du jazz biguine, est un brillant soliste qui sait aussi devenir un accompagnateur sensible et complice. Lauréat des grands prix du jazz, au fil de ses quarante-cinq ans de carrière il a longtemps témoigné auprès de Barney Wilen et Dee Dee Bridgewater de sa subtilité harmonique et de son amour des phrases mélodiques. Sylvain Romano n’a pas quarante ans, sa contrebasse est souvent sollicitée par Lionel et Stéphane Belmondo. On le retrouve aussi en grande complicité musicale avec la jeune génération du jazz et particulièrement les pianistes Jacky Terrasson et Pierre de Bethmann

#Deauville : La Saison Culturelle 17/18 : 20 ans de découvertes et de plaisirs !
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théâtre Vendredi 22 juin 2018 / 20h Salle élie de Brignac

Mozart Schubert Weinberg Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie

Première venue, dans la saison culturelle de Deauville, de l’Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie dans un effectif de trente-cinq musiciens. Le programme associe un extrait d’opéra, un concerto de Mozart, un concerto de Schubert et une symphonie de Mieczyslaw Weinberg, compositeur russe méconnu, auteur de la musique du film Quand passent les Cigognes (palme d’or du festival de Cannes 1958). L’Orchestre de l’Opéra de Rouen accompagne les productions du Théâtre des arts/ Opéra de Normandie et donne chaque saison une cinquantaine de concerts, en Normandie, en France et dans les grandes capitales internationales. Sa première venue à Deauville célèbre et illustre les atouts et les nouveaux dialogues artistiques d’une Normandie réunifiée. Dans ce programme populaire et éclectique qui s’ouvre avec un extrait d’Idomeneo, le concerto de Mozart met la flûte et la harpe à l’honneur : Anaïs Gaudemard, brillante harpiste et soliste internationale avec laquelle l’orchestre de l’Opéra vient d’enregistrer son dernier disque, est aux côtés de Jean Christophe Falala, flûte solo de l’Orchestre de l’Opéra. L’Ouverture dans le style italien, D 591 en do majeur, de Schubert, fut composée en 1817, année de composition de La Jeune Fille et la Mort. Ce concert s’achève par une superbe symphonie d’un compositeur du XXe siècle. Chassé de Pologne par l’invasion nazie, puis mis à l’écart par Staline, Mieczyslaw Weinberg est injustement oublié. Ami et disciple de Chostakovitch, il est aujourd’hui réhabilité par le chef et violoniste Gidon Kremer qui vient de lui consacrer plusieurs enregistrements plébiscités.

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