21 octobre > 26 novembre : Planche(s) Contact #8, les premières images
Dans un mois maintenant, la photographie va s’installer à Deauville. La plage est le fil rouge de l’édition 2017 et de ses expositions.
Au total, quatorze expositions seront à découvrir dès le 21 octobre. En complément de ces expositions, Planche(s) Contact accueillera aussi quinze autres projets photographiques dans son volet du OFF et un concours ouvert à tous - la 25e heure – qui se déroule lors du week-end de vernissage des expositions.
Agnès b. a été inspirée par sa palette de couleurs et de nuances. Claude Nori et Vasantha Yogananthan ont rencontré ceux qui l’ont adoptée comme espace de loisirs. Peter Lindbergh la photographie depuis trente ans.
C’est pour lui un décor et un espace aux multiples lumières. Pas très loin, Françoise Huguier est allée à la rencontre de ceux qui habitent dans les logements sociaux de Deauville. Certains travaillent sur le front de mer toute l’année, d’autres en été. On découvrira aussi les « laisses de mer », ces objets que dépose la mer sur le sable…
Au total, quatorze expositions, détaillées ci-dessous seront à découvrir dès le 21 octobre. En complément de ces expositions, Planche(s) Contact accueillera aussi quinze autres projets photographiques dans son volet du OFF et un concours ouvert à tous - la 25e heure – qui se déroule lors du week-end de vernissage des expositions.
PLANCHE(S) CONTACT #8 FESTIVAL DE CRÉATIONS PHOTOGRAPHIQUES À DEAUVILLE
21 OCTOBRE > 26 NOVEMBRE 2017
Dans une démarche qui a tenté nombre de photographes, Planche(s) Contact s’est donné pour thématique l’exploration et la restitution de tout ce qui constitue l’identité d’une ville. Les expositions créées abordent différentes écritures photographiques, dans des registres qui invitent le portrait, le reportage, le nu, le paysage, les fictions et les mises en scènes photographiques, la nature morte, la mode, l’architecture, les recompositions, le détournement, l’installation … Année après année, le Festival suscite et associe les regards croisés de photographes reconnus et de photographes émergents. Pour compléter cette programmation, le Festival s’accompagne d’un Off, parole donnée aux photographes amateurs et semi-professionnels amoureux de Deauville ; d’un concours photographique – le Concours de la 25e heure Mondaine, et d’un cycle d’actions de médiation et d’événements à destination des scolaires et du grand public.
Les expositions 2017
CARTE BLANCHE À AGNÈS B., DIRECTRICE ARTISTIQUE ASSOCIÉE, À LA CHATONNIÈRE : Planche(s) Contact invite pour la première fois une personnalité culturelle qui aime et pratique la photographie en parallèle de sa propre carrière. Agnès b. exposera ses photographies de Deauville à la Chatonnière : Elle a aussi invité et parrainé deux talents de la photographie, Céline Villégas et Emma Charrin.
RÉTROSPECTIVE PETER LINDBERGH SUR LA PLAGE DE DEAUVILLE
C’est en 1980 que Peter Lindbergh réalise son premier reportage de mode à Deauville pour Vogue Italie. Pour la première fois, il expose une sélection de ces photographies en plein air. Vingt-deux seront présentées dans une installation monumentale, sur les lieux même où elles ont été réalisées. Un témoignage de la rencontre forte entre un lieu et un artiste.
FRANÇOISE HUGUIER AU POINT DE VUE POUR UNE IMMERSION DANS LES LOGEMENTS SOCIAUX DE DEAUVILLE
L’approche intimiste de Françoise Huguier l’inscrit dans une photographie documentaire et sociologique, tournée vers l’autre. Françoise Huguier est allée à la rencontre des familles les plus modestes de Deauville, où 32 % des logements permanents sont des logements sociaux.
CLAUDE NORI ET SA DOLCE VITA SUR LA PROMENADE LUCIEN BARRIÈRE
Photographe amoureux, Claude Nori a arpenté la plage et les hôtels de Deauville. Ses représentations estivales alternent rêveries et oisiveté, et nous murmurent les notes de la dolce vita, douce parenthèse estivale. Les regards et les sourires racontent les bonheurs de l’été.
VASANTHA YOGANANTHAN AU PETIT BASSIN DU FRONT MER
Vasantha Yogananthan est allé à la rencontre de tous ceux qui habitent la plage le temps d'une journée. Cette série de portraits, réalisée à la chambre, privilégie le temps long et la mise en scène. Son usage de la couleur, aux tons pastels presque neutres, donne une douceur inattendue à ces scènes de vie, et une force symbolique à ces portraits d’hommes et de femmes qui font de la plage de Deauville, une succession d'histoires personnelles
LYNDA LAIRD, AU POINT DE VUE
Lauréate du Prix Fondation Louis Roederer 2016, Linda Laird reprend à Deauville une démarche historique. Travaillant à partir d’un journal tenu par une habitante de la ville durant l’occupation, elle est partie à la recherche des empreintes immatérielles de la seconde guerre mondiale qui subsistent dans notre environnement.
Commenter cet article