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#CHERBOURG - Biennale du 9e art - Etranges Cités de Nicolas de Crécy

CHERBOURG ET LE 9 e ART

Le 9 e art s’est ancré à Cherbourg en 2002. La Ville a été l’une des premières à rompre les conventions en exposant la bande dessinée dans un musée des beaux-arts, le 3 e de Norman - die. Initiée avec Enki Bilal, la Biennale s’est poursuivie avec Schuiten et Peeters en 2004, André Juillard en 2006, Loustal en 2008, Hugo Pratt en 2009, Moebius en 2011 et Tardi en 2013. Elle propose au grand public des expositions monographiques et thématiques qui explorent l’univers d’un grand nom de la bande dessinée, au sein du musée Thomas Henry. D’abord consacrée à des figures majeures de la bande des - sinée européenne, la Biennale met le cap en 2017 sur les Amériques avec Winsor McCay et initie un cycle consacré aux auteurs américains. En 2019, avec Jack Kirby. La galaxie des super-héros, la Bien - nale invite le public dans une nouvelle dimension, celle des comics et des super héros, dont beaucoup ont été créés ou co-créés par Jack Kirby : The Fantastic Four, Captain America, Darkseid…

Crédits (c) - Nicolas de Crecy - (c)Editions Gallimard-Francesca Mantovani

Crédits (c) - Nicolas de Crecy - (c)Editions Gallimard-Francesca Mantovani

#CHERBOURG - Biennale du 9e art - Etranges Cités de Nicolas de Crécy

ÉTRANGES CITÉS DE NICOLAS DE CRÉCY Depuis 2002, le musée Thomas Henry de Cherbourg-en-Cotentin propose, tous les deux ans, une Biennale du 9 e art consacrée à la bande dessinée, au roman graphique et à l’illustration. Après trois éditions consacrées à l’histoire de la bande dessinée américaine, la Biennale du 9 e art offre, en 2023, une carte blanche à Nicolas de Crécy, figure majeure de la nouvelle bande dessinée

E n trois décennies, Nicolas de Crécy a imposé une œuvre singulière et exigeante, étrange et décalée. Il s’est fait connaître du grand public par la série Léon la Came, qui a obtenu le prix du meilleur album au festival d’Angoulême en 1998, ou par son album sur le musée du Louvre, Période Glaciaire, en 2005. En parallèle à la réalisation d’une quarantaine de livres de bande dessinées ou d’illustration et à quelques incursions dans le dessin animé, Nicolas de Crécy a développé un important travail graphique, enrichi par les techniques variées qu’il explore : gravures, fusain, aquarelles, huiles. Cette production a fait l’objet d’expositions en galeries ou centres d’art contemporain. L’exposition présentée cet été au musée Thomas Henry aborde ain - si l’œuvre de Nicolas de Crécy sous l’angle des atmosphères urbaines. « Intitulée Étranges Cités de Nicolas de Crécy, elle met en lumière les décors qui servent d’arrière-plans aux intrigues baroques et décalées de l’auteur, explique Catherine Gentile, maire-adjointe à la culture de Cherbourg-en-Co - tentin. Au fil d’un parcours de 350 m2 , le visiteur découvrira les fantômes et autres entités subtiles qui peuplent, depuis des décennies, ses villes réelles ou imaginaires

L a centaine d’œuvres sélectionnées sur le thème du surnaturel urbain s’arti - cule en cinq séquences distinctes. En ouverture, New-York-sur-Loire. Cité surréaliste, mégapole imaginaire, impro - bable combinaison entre le gigantisme am éricain et la splendeur des châteaux de la Loire, devenue une protagoniste à part entière dans l’univers de l’auteur. Au fil du temps, Nicolas de Crécy a exploré cette fiction architecturale dans le cadre de diverses expositions ou éditions sp écifiques. La suite du parcours propose une vision fantasmagorique de Kyoto et Tokyo, ville high-tech s’il en est, peupl ée de Yôkai, ces esprits fac étieux et inqui étants du folklore japonais, que l’auteur, inspiré par les grands maîtres de l’Ukiyo-e, a réintroduit dans un univers urbain contemporain. La séquence suivante est consacrée à la place de la nature dans la ville ou, à l’inverse, à l’inscription de l’architecture dans le paysage à travers une sélection d’images dédiées au dialogue nature/culture. Ces paysages imaginaires, transpositions d’éléments architecturaux dans des décors sauvages, ou au contraire, intrusions inopinées de la végétation parmi les constructions, s’avèrent de véritables recompositions métaphysiques à la manière d’un rêve lucide. Les pièces exposées dans cette section sont inédites, fruit d’une recherche picturale traduite par une multiplicité de techniques : fusains, huiles sur toiles, aquarelles, acryliques. Une quatrième séquence explore la ville de Mexico, par une approche presque documentaire. En effet, il arrive parfois à Nicolas de Cr écy de mettre à distance son imagination pour mieux s’impr égner de l’ étranget é du r éel. Dans ses carnets de voyages le dessinateur capte l’âme des villes, les ondes r émanentes de leur glorieux pass é, les mythologies qui en é - manent. C’est le cas de Mexico où le dessinateur a perçu la puissance des lumières et la singularité d’un urbanisme baroque. Sous d’autres latitudes, Nicolas de Cr écy dessine les villes d’Europe : Flo - rence, Lisbonne, Paris et... Cherbourg-en-Cotentin. Que l’artiste a parcou - rue, carnet en poche, pour en restituer l’ambiance par des dessins et des gravures qui constituent la dernière séquence de l’exposition

Lors d’une résidence en octobre 2022 à Cherbourg-en-Cotentin, Nicolas de Crécy a arpenté les rues, les quais et les jardins de la ville afin d’ap - préhender le génie du lieu. La série de dessins aquarellés et de gravures taille-douce, produits sur le motif ou à l’atelier René Tazé à Paris, met en lumière le caractère insolite et contrasté de Cherbourg-en-Cotentin. Lors de son premier séjour dans ce port du bout du monde, Nicolas de Crécy, vierge de toute référence culturelle ou géographique, fut saisi par les dis - cordances d’échelles et les associations saugrenues, le gigantisme des paquebots en escales, l’ampleur hors-norme de la rade artificielle et des équipements transatlantiques. Dans un autre registre, l’exotisme de ses jardins, les témoignages architecturaux de son passé cosmopolite, les fant ômes des ic ônes hollywoodiennes en transit constituèrent autant d’inspirations subliminales. La dialectique du réel et de l’imaginaire représente le fil rouge du périple muséal.

NICOLAS DE CRÉCY DE LA BANDE DESSINÉE À LA GRAVURE

Nicolas de Crécy est né en 1966 à Lyon. Après une première expérience dans l’animation chez Disney, il publie en 1991 Foligatto sur un récit d’Alexios Tjoyas (Les Humanoïdes Associés). Sa première œuvre en tant qu’auteur complet, le Bibendum céleste, pa - raît en 1994. Il obtient l’Alph-Art du meilleur album pour le second tome de Léon la Came, trilogie composée avec Sylvain Chomet (Casterman), en 1997. Suivent une quarantaine de livres, explorant diverses pistes : illus - tration jeunesse, carnets de voyage, textes personnels illustrés. Il sera le premier auteur de la collection de bande dessinée initiée par le musée du Louvre, en 2005, avec Période Glaciaire. Il sera également un des rares auteurs à être publié directement au Japon avec La R épublique du catch, éditée par Shueisha Publishing et parue dans le mensuel Ultrajump en 2014. Ce dessinateur virtuose au style immédiatement identifiable et à l’hu - mour décalé est aujourd’hui considéré comme une figure majeure de la bande dessinée . Pensionnaire à la Villa Kujoyama (Kyoto) en 2008, il y développe des projets, parmi lesquels Carnets de Kyôto ou Esth étiques du quotidien au Japon, ainsi que des collaborations avec des artistes japonais. C’est ainsi qu’en 2014, il publie un Artbook avec Tayio Matsumoto. Nicolas de Crécy propose également un travail plastique, notamment lors de l’exposition Le manchot mélomane au centre d’Art contemporain de Quimper (Le Quartier), en 2015. En 2017, il expose, au Museo de Arte Moderno de Mexico, ses dessins sur le Mexique, parus précédemment dans un ou - vrage de la série Travelbook chez Louis Vuitton. L’exposition est reprise en 2018 à l’Institut Culturel du Mexique à Paris. En 2019, il écrit et illustre Les amours d’un fantôme en temps de guerre, sorti chez Albin Michel et récompensé par le prix Vendredi 2018. Son premier roman, Vieux Criminels, est sorti chez Gallimard en 2021. Son travail, partag é entre bande dessinée, écriture et arts plastiques, a fait l’objet de nombreuses expositions ainsi que de traductions en Europe, aux États-Unis et au Japon. Nicolas de Crécy est l’un des rares auteurs de bande dessinée à avoir, en parallèle de ses publications, une véritable démarche de peintre-gra - veur. C’est pour témoigner de toute la palette de sa création que le musée Thomas Henry l’a invité, en 2023, à produire une exposition réunissant une centaine de ses œuvres sur le thème de « l’inquiétante étrangeté de l’ar - chitecture »

VISITES & ATELIERS POUR EXPLORER L’UNIVERS DE NICOLAS DE CRÉCY

Autour de l’exposition Étranges cités de Nicolas de Crécy, une programmation d’activités variées est proposée afin d’accompagner les différents publics dans leur découverte du travail de l’artiste, en lien avec les notions de voyage et d’architecture, tout en stimulant l’imaginaire de chacun. Des actions de médiation qui visent également à attirer de nouveaux publics et axées sur la nécessité de se rencontrer, d’échanger, quel que soit l’ âge, l’origine géographique ou les repères culturels. DES VISITES GUIDÉES T out l’été, le musée Thomas Henry invite le public à plonger dans l’univers de Nicolas de Crécy avec des visites guidées par une médiatrice du musée. Une découverte des Étranges cités de Nicolas de Crécy en passant par le Japon, le Mexique, New-York-sur-Loire, ville imaginée par l’artiste, et enfin, Cherbourg-en-Cotentin, cité portuaire vue à travers le regard de Nicolas de Crécy lors de sa résidence à l’automne 2022 en vue de cette exposition. Une invitation au voyage ! 21 et 28 juin, 22 et 30 juillet, 9 et 20 août, 6 et 27 septembre, 11 et 15 octobre. À 15h, durée : 1h, ouvert à tous.

DES ATELIERS DES ATELIERS ENFANTS ET JEUNES

Des ateliers sont proposés tout l’été aux accueils de loisirs, maisons de quartiers pour les enfants et adolescents afin de leur faire découvrir par une visite guidée et/ou un atelier de pratique artistique les Étranges cités de Nicolas de Crécy.

DES ATELIERS POUR LES ADULTES

Des ateliers de découverte de l’aquarelle, technique employée par Nicolas de Crécy, seront programmés en septembre et octobre pour un public à partir de 16 ans.

Les thèmes de la ville, de l’architecture, seront questionnés auprès des adolescents et adultes à l’aune des problématiques actuelles liées à l’envi - ronnement, la pollution, l’explosion de la démographie urbaine. Ces temps spécifiques montreront comment l’art permet de regarder et d’interroger le monde. Concernant lepublicscolaire, des ressources seront créées à destination des enseignants des 1er et 2nd degrés afin d’inscrire pleinement la décou - verte de l’exposition dans le cadre du Parcours d’ Éducation Artistique et Culturelle. L’accent sera mis essentiellement sur la rencontre avec l’artiste et la réalisation.

La notion de voyage et les références culturelles diverses présentes dans l’œuvre de Nicolas de Crécy invitent à penser des actions de médiation à desti - nation des publics allophones, nombreux à Cherbourg-en-Cotentin, notamment dans le cadre de la section « Français Langue Etrangère et d’Intégration » ouverte au Foyer des Jeunes Travailleurs. Un partenariat est donc envisagé autour d’une production commune, une ville imaginaire o ù se rencontreraient les cultures des participants.

L ’Artothèque de Cherbourg-en-Cotentin s’associe à la 11 e Biennale du 9 e Art en présentant dans ses locaux, au Quasar, à 2 pas du Musée Thomas Henry, un ensemble de gravures, lithographies et sérigraphies de Nicolas de Crécy acquises au cours de ces dernières années. Parmi elles, plusieurs estampes, inédites pour le public cherbourgeois, ont été réalisées par des imprimeurs d’art et ateliers parisiens de renom. Certains sujets, comme les vues architecturales de New-York-sur-Loire, font écho aux œuvres exposées au musée Thomas Henry. A l’issue de cette présentation, le 22 octobre 2023, toutes ces estampes pourront être empruntées par les adhérents de l’Artothèque. De juin à octobre 2023, cinq cafés-rencontres dominicaux sont organisés à l’Artothèque, de 14h à 18h, afin de présenter le travail de l’artiste et discuter de ses œuvres : rendez-vous les 18 juin, 23 juillet, 27 août (durant le festival Voyageurs immobiles), 17 septembre et 22 octobre Renseignements et inscriptions par courriel à artotheque@cherbourg.fr. Artothèque - place de Gaulle - 50100 Cherbourg-en-Cotentin

BIENNALE DU 9
e
ART
ÉTRANGES CITÉS DE NICOLAS DE CRÉCY
16 JUIN > 15 OCTOBRE 2023
MUSÉE THOMAS HENRY
Le Quasar - Esplanade de la Laïcité
50100 Cherbourg-en-Cotentin
Tél. 02 33 23 39 30 // musees@cherbourg.fr
www.cherbourg.fr
ACCUEIL ET BILLETTERIE
Du mardi au vendredi : 10h-12h30 et 14h-18h.
Les samedis et dimanches : 13h-18h.
Fermé les lundis et jours fériés.
Plein tarif : 6€ / tarif réduit : 4€.
Gratuit le mercredi.
ACCÈS
Par la route
En voiture, par l’A13 depuis Paris et la N13 depuis Caen.
Par le train
Cherbourg-en-Cotentin est desservi par la ligne
Paris St-Lazare-Caen-Cherbourg.
Le Quasar est à 10 minutes à pied de la gare SNCF.
Accès en transports en commun Cap Cotentin
Plusieurs lignes desservent l’arrêt le plus proche : Schuman-Delaville

CHERBOURG-EN-COTENTIN D’AUTRES RENDEZ-VOUS CULTURELS ESTIVAUX

L’été sera riche à Cherbourg-en-Cotentin. Tour d’horizon des autres expositions estivales organisées par la Ville où l’absurde et la bande dessinée continuent à inspirer

GILLES ZILLER ARCHIVES INTERNATIONALES ÉDITIONS

Du 16 juin au 15 octobre - au Musée Thomas Henry E n marge de la 11e Biennale du 9e Art, le musée Thomas Henry organise un hommage à l’un des plus célèbres éditeurs de sérigraphies. L’exposition présentée cet été dans la Petite galerie sera consacrée à Gilles Ziller, éditeur-imprimeur spécialisé dans la sérigraphie de bande dessinée. Ce passionné d’esthétique ligne claire et de style Art Déco fut un pionnier de l’édition d’estampe pop au début des années 1980. Dans la grande tradition de l’imagerie populaire, Gilles Ziller et son épouse s’appuyèrent sur un solide réseau de diffuseur et de libraires spécialisés pour créer un véritable marché de la sérigraphie de bande dessinée à l’échelle européenne. Durant une période de trente ans, l’imagier a produit dans le secret de son atelier de Malzéville près de Nancy, des centaines de tirages à partir d’illustrations vintages de grands maîtres de l’École belge - Franquin, Hergé, Jacobs – mais aussi des grandes signatures de l’âge d’or américain : Winsor McCay, George McManus et Alex Raymond. Avec la jeune génération, André Juillard, Ever Meulen, François Schuiten et tant d’autres, il créa des œuvres composites qui laissent libre cours à sa créativité graphique. Ses tirages, remarquables par la qualité des impressions et l’élégance de l’identité graphique, sont très prisés des collectionneurs et constituent une référence dans l’histoire de l’imagerie. Le Cabinet des estampes accueille une sélection d’une vingtaine d’estampes issues du fonds de l’artothèque, agrémentée de quelques prêts de la maison Ziller (notamment des portfolios, et des documents d’archives), afin de mettre en lumière l’épopée artistique d’Archives Internationales Éditions

FABIO VISCOGLIOSI ROCOCO CLUB

Du 10 juin au 17 septembre – Château des Ravalet L’exposition ROCOCO CLUB présente une série de tableaux grands formats produits à cette occasion, ainsi qu’une sélection d’œuvres sur papier et livres fictifs puisés dans la production récente de l’artiste aux multiples talents. On y retrouve son goût pour des formes et des sujets aussi variés que la bande dessinée, la littérature, le cinéma burlesque, le paysage ou les décors. Peintre, dessinateur, écrivain et musicien, Fabio Viscogliosi est né en 1965 à Oullins, de parents italiens. Aujourd’hui, il vit et travaille à Lyon et Genève. Représenté par la galerie espagnole L21, il a exposé dans des lieux tels que le musée des Arts décoratifs de Paris, l’Untitled Art à Miami, la foire internationale d’art contemporain ARCO à Madrid ou JingArt à Pékin. Deux expositions personnelles ont eu lieu récemment : Palazzo à la galerie L21, et Slapstick Melody à la galerie Romero Paprocki à Paris. Dans le domaine de la littérature, il a publié plusieurs romans, Apologie du Slow (Stock, 2014), Mont Blanc (Stock) qui a été traduit en italien et Japonais. Son livre Je suis pour tout ce qui aide à traverser la nuit (Stock 2010) a reçu le prix Prince Pierre de Monaco. En 2015, il a écrit une fiction à partir d’une œuvre de Fischli & Weiss (Les Hors-la-loi, Confluences/FRAC Aquitaine). Son roman Harpo a paru aux éditions Actes sud en 2020. Il est également l’auteur de nombreuses bandes dessinées ou livres graphiques, comme Cascade (L’Association, 2020) ou Da Capo (L’association 2010), ou encore la série expérimentale Belvédère en duo avec Luca Retraite. En tant que musicien, il a enregistré plusieurs albums et collaboré avec les artistes Amedeo Pace (Blonde Redhead) ou Vanessa Paradis (Les Sources, 2018). Camera, son dernier album en date, a paru chez Objet Disque en 2021.

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